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 HE FOR SHE • Et que je tressaillerais. et que je le connaitrais. [PRIS]

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AuteurMessage
Elizabeth J. Bishop
ICELADY • It's not a cry that you hear in night, it's not somebody have seen the light.
Elizabeth J. Bishop


Féminin Nombre de messages : 92
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Your Song : SUSAN ENAN • Bring on the wonder
Pseudonyme : Doomsday
Date d'inscription : 07/02/2009

MY COOKED LIFE
JOB : • Seconde du Chef.
MY SWEET CANDIES :
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HE FOR SHE • Et que je tressaillerais. et que je le connaitrais. [PRIS] Empty
MessageSujet: HE FOR SHE • Et que je tressaillerais. et que je le connaitrais. [PRIS]   HE FOR SHE • Et que je tressaillerais. et que je le connaitrais. [PRIS] I_icon_minitimeSam 7 Fév - 20:16

HE FOR SHE • Et que je tressaillerais. et que je le connaitrais. [PRIS] 2iqk3l3 HE FOR SHE • Et que je tressaillerais. et que je le connaitrais. [PRIS] 33bpsb8
NOM, PRÉNOM(S)
JILLY TYLER pour les besoins de l'histoire.
Au choix mais vu qu'il est américain 'muté' en Italie de son propre chef, je vous laisse deviner les origines du prénom/nom.


Âge : Environ entre 34/38 ans.
Emploi : Flic à miami dans la criminelle.

Ébauche caractérielle : • SURPROTECTEUR • DRÔLE • CULTIVÉ • SUSCEPTIBLE • CARACTÉRIEL • GÉNÉREUX • GENTLEMAN • FIDÈLE • PATIENT • VIOLENT AVEC LA GENTE MASCULINE QUI LE MÉRITE • SOLITAIRE •

Nature du lien :
Citation :
Jilly avait rencontré Elizabeth de la manière la plus abrupte qui soit. Dans sa profession, ce jour là, il avait été envoyé sur les roses, c'est à dire théoriquement parlant sur Elizabeth. La mère de son enfant avec qui il s'était séparé depuis cinq ans, alors que leur petit Aaron n'en avait que un l'avait re-re plaqué. Cette fois ci pour la dernière fois. Puis qu'elle s'était suicidée. Dans l'ordre elle l'avait re re balancé sur ces douces et piquantes fleurs PUIS elle s'était donnée la mort. Jilly en avait été ébranlé, mais les faits étaient là, lui qui était catholique, cela remettait en cause sa perception des chose. Et ça faisait de Aaron un semi-orphelin. Mais là n'était pas la question. Donc quand il était déprimé il allait mangé chic, une sorte de pied de nez aux bourgeois qu'il ne supportait pas. Son plat de raviolis qui arrivait sur la table le sortit de ses pensés. Mais c'est lorsqu'il porta son contenu aux lèvres qu'il fut bien plus que réveillé. Il fut brûlé. Et son hurlement de douleur retentit dans toute la salle, suivit d'un : « Il y a un pète cul qui a trouvé le cheveux de Liz dans sa soupe ou quoi ? » provenant des cuisines. Un serveur en ignorant la remarque d'une de ses collègues s'approcha du flic. Que personne n'osait regardé d'un air outré justement parce qu'il était flic.

« Il y a un prob... » « BIEN SUR QU'IL Y EN A UN ! JE VIENS DE ME CRAMER LA BOUCHE AVEC DES RAVIOLIS ! DES RAVIOLIS ! AMENEZ MOI L'ESPÈCE DE CON QUI LES A FAITE ! », mais le serveur resta à sa place. Parce qu'en connaissant ce restaurant pour y travailler depuis assez longtemps déjà, il savait qui allait rappliquer (La seconde du chef et sa meilleure amie) et quand (tout de suite). Ses soupçons furent confirmés quand deux femme d'une beauté irrévocable poussèrent la porte de la cuisine. Elles ne l'avait fait qu'une seule fois, c'était il y a trois ans. Et en général tout les clients s'en souvenaient. Jilly regardait les deux chefs sans réellement comprendre. L'une était blonde, l'autre brune. Et c'était cette dernière sur qui il portait toute son attention, elle dégageait comme une aura glacée. Elle était magnifique. Du moins de son point de vue à lui, sa partenaire à ses côtés était jolie c'est vrai, mais pas de la même manière. Non il était concentré sur elle. Elle qui s'approchait dangereusement, elle enleva ses gants, et toucha d'un air très concentré les lèvres de Jilly. Et c'était sûrement ça le plus brûlant.

« Pas de blessure apparente, désolé de vous dire monsieur que vous n'êtes pas cramé. », dit t'elle sans la moindre trace d'ironie en faisant arracher un sourire bien visible à ce que semblait être son amie. « Mais vous pouvez toujours révoquer votre statut de mâle alpha, j'ai l'habitude. », ajouta t'elle avant que son amie fasse une sorte de traduction : « Vous avez le droit de porter plainte. », et c'est sur ces derniers mots qu'elles lui tournèrent le dos, et qu'il put, avec un sourire non dissimulé apprécier la chute de rein de ce qui allait devenir sa partenaire et meilleure amie.

Ensuite, par des rencontres inattendus comme le jour où il a arrêté un des cuisiniers pour triple homicide, ils ont décidé que ça serait pas si mal de boire un café ensemble. Aujourd'hui cela va faire deux ans qu'il l'a connait, ils ont partagé beaucoup. Elle lui a fait goûter des mets magnifiques, il lui a fait prendre part à ces enquêtes, elle en ayant fait un peu de psychologie forcé l'a souvent aidé à en clore, des enquêtes, pas directement bien évidemment. Mais quand même. Ils sont partenaires, c'est ce qu'ils se tuent à se dire. Partenaires dans le crime, partenaire dans la gastronomie. Il ferait tout pour elle, il cache des blessures enfouies profondément et elle aussi, parfois, lorsque la nuit tombe, et qu'ils ont tout deux terminé leurs travaux, autour d'un café l'un parle de quelque chose de douloureux et l'autre est là, main dans le dos ou parfois juste le regard soutenu. Il connait ces yeux verts/bleus par cœur, elle admire son regard noisette souvent. Pourtant ils se vouvoient encore, et elle l'appelle par son nom de famille.

La meilleure amie de Elizabeth a tendance à penser que ça serait bien de les caser, et elle s'évertue à les pousser l'un vers l'autre. Seulement jusqu'à il y a quelques jours, ils s'admiraient psychologiquement et physiquement mais n'avaient jamais envisagé d'être amants. C'est peut être stupide à dire, mais ils s'étaient voilé la face sur leurs véritables sentiments profonds qui étaient nés d'une ravioli trop cuite et d'un franc parler à couper la souffle. C'était il y a deux jours précisément, Aaron était chez sa grand mère, et Jilly allait mal dans le sens moral du terme, si il avait envoyé son fils chez sa mère ce n'était pas pour l'importuner, loin de là. C'était parce qu'il devait réfléchir, non seulement l'affaire sur laquelle il était, était particulièrement éprouvante.

Citation :
Mais alors qu'il buvait un café et que son fils prenait ses céréales, il avait demandé :

« Est ce que Maman reviendra un jour ? ». Jilly n'avait pas su quoi répondre, c'était difficile alors il avait feinté par autre chose. Mais le soir même, il avait ramené son fils chez sa mère à lui, car la chair de chair venait de raviver des souvenirs terrifiants. Le suicide, son propre père, s'en était trop. Alors il était allé frapper chez celle qui l'aiderait, d'habitude c'était le contraire. Mais là il avait besoin de bras, de murmures réconfortants, provenant juste d'elle. Ce qu'il n'avait pas prévu c'est qu'elle dormait, parce qu'à minuit elle dormait. Et qu'elle le faisait nue. Il avait tellement pris du temps pesé le pour et le contre qu'il n'avait pas vu le temps passer. Voyant qu'elle ne répondait pas, et ayant un double, il s'introduit en silence et failli se donner une baffe en voyant dans le noir semi-complet l'horloge indiquer 00:20. Il n'allait pas la réveiller, ce n'était pas la peine. Il entendait sa respiration, presque ses battements de coeur, une des lumières était encore allumée, elle éclairait près du canapé où Elizabeth dormait, profondément. Il s'approcha, c'était une envie irrépressible. Un instinct enfoui. Et c'est là où il se rendit compte qu'elle ne dormait pas habillée, parce qu'un coin de sa peau d'albâtre apparaissait et que ce coin n'était autre que son dos. Oh bon sang il n'aurait jamais du venir. C'était une très mauvaise idée. D'autant plus qu'elle se réveillait, là, maintenant. Il pouvait s'enfuir en courant.

Et c'est ce qu'il fit, avant que ça dérape. Sauf qu'il avait laissé le double des clés reconnaissable parmi tant d'autre car personnalisé par une...ravioli.

Avatar(s) souhaité(s) : David Boreanaz 015 Non je suis assez difficile parce que je me fais une image bien précise de l'acteur, j'aime beaucoup Michael Weatherly aussi I love you


    PS : Si le rôle vous intéresse alors qu'il n'est pas encore fini ce n'est point grave, veuillez me MPottez sur Bazzart si vous êtes sur Bazzart ce qui est souvent le cas afin que je vous le réserve, le cas échéant MPottez moi ici 029


Dernière édition par Elizabeth J. Bishop le Dim 8 Fév - 22:17, édité 1 fois
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