_LIZBOEUF •• tell me what do you see, yes i lost my mind.

- UNTOLD_VERITY @ LJ

« Una mattina mi sono alzato, Oh bella ciao, bella ciao, bella ciao, ciao, ciao. Una mattina mi sono alzato e ho trovato l'invasor. E ho trovato l'invasor. Oh partigiano, portami via. Oh bella ciao, bella ciao, bella ciao, ciao, ciao. Oh partigiano, portami via, che mi sento di morir. E se io muoio da partigiano, E se io muoio da partigiano tu mi devi seppellir. E seppellire lassa in montagna, Oh bella ciao, bella ciao, bella ciao, ciao, ciao. Seppellire lassa in montagna sotto l'ombra di un bel fior. Tutte le genti che passeranno, Oh bella ciao, bella ciao, bella ciao, ciao, ciao. Tutte le genti che passeranno mi diranno che bel fior. E' questo il fiore del partigiano, Oh bella ciao, bella ciao, bella ciao, ciao, ciao. E' questo il fiore del partigiano Morto per la liberta .
E' questo il fiore del partigiano, Morto per la liberta. »

•• STUPEURS & TREMBLEMENTS

Je suis sûre de plusieurs choses, des choses non scientifiques j'entends par là. Il est vrai que tenir un journal est stupide, mais parler toute seule, sur son balcon, avec pour seule couverture corporelle une couette en soie qui réchauffe même pas, à minuit, sous une température de 1° est parfaitement stupide. Ça ne me ressemble pas. Ce n'est pas Elizabeth Joey Bishop, âgé de 32 ans qui se tient sur cette chaise à moitié brisée. C'est quelqu'un d'autre. Je n'arrive pas à définir, d'un point de vue anthropologique qui c'est, mais je vais finir par trouver. Je crois que cette remise en question dans des conditions impensables au cœur de la nuit noire m'est apparue tout à fait sensée lorsque j'ai trouvé le double des clés de Jilly sur ma table, je lui avais donné parce qu'il avais tendance à débarquer n'importe quand pour m'annoncer des nouvelles trépidantes (enfin qu'ils pensaient trépidantes) et j'avais tendance à l'inviter souvent. Et comme l'être humain est un être passablement fainéant, je lui avais donné un double. C'est hier matin que je l'ai trouvé, et si je n'étais pas quelqu'un de calme et rationnel je serais parti sur des divagations improbables voires incongrues. Mais les faits étaient là, je m'étais couché assez tard et lui était passé bien plus tard. Quelque chose ne tournait pas rond et je tenais à savoir quoi, dans les plus brefs délais. Ma vie était particulièrement tranquille avant l'arrivée de cet agent, ce flic de la criminelle. C'est sûrement ce que me reprochait ma meilleure amie et collègue Linnéa Bocarelli. Un véritable cas celle là. Ma vie était quelque chose que j'aimais, mais il me manquait un truc, je sais que c'est vague 'truc' et que ça ne peut parler à personne. Mais je ne sais point comment l'exprimer. Je crois, au fond de moi, que Jilly Tyler, l'homme douillet qui se brûla à cause de ma ravioli changea définitivement ma vie, plus que ne l'aurait fait n'importe qui, plus que n'importe qui ne l'avais jamais fait. Disons pour que ça vous parle même si j'ai horreur des métaphores et des images que ma vie était comme une glace à la vanille. Banale, tranquille. Blanche. Et qu'elle s'ennuyait. Jilly a été comme des morceaux de chocolats, du coulis de caramel ou des colorants chimiques. Il a fait de la glace à la vanille un truc mangeable. Ma meilleure amie me chambre, elle essaye de nous pousser, l'un contre l'autre. Mais lui, cet homme n'est rien d'autre qu'un ami. Ce qu'elle ne semble pas comprendre, du moins qu'elle refuse d'admettre.

Oui ma vie était tranquille. Malgré le fait qu'elle n'était pas banale, j'avais appris à savoir le cacher, me cacher, fuir ça je savais faire. Je l'avais fais tant de fois, face à l'abstrait, face au concret. Et je ne comptais pas m'arrêter de sitôt, car lorsque je ne trouvais pas, que je ne pouvais pas trouver une explication rationnel ou que je craignais de ne pas en trouver c'était là où apparaissait la peur. Pas quand j'entendais un bruit la nuit, ou que je me retrouvais seul. Parce que ça c'était normal, il y avait une explication à tout ceci. Mon père, les rares fois où il discutait avec moi m'avait expliqué qu'on ne pas tout résoudre, démontrer. Moi j'étais bornée et je répétais que si.

Alors il m'avait demandé une explication rationnelle au fait que sa femme était une alcoolique. Qu'elle frappait sa fille, son fils, son mari et qu'elle jubilait. Que le lendemain matin elle ne se souvenait de rien. Et que pour combler ce vide, cet absence de souvenirs, elle vidait une autre bouteille en verre.

Il y avait une explication, je pouvais le sentir, mais je ne pouvais rien dire, parce que j'étais trop proche de l'événement, je ne pouvais pas être objective, même avec des termes scientifiques, ça aurait été trop dur. Parce que les traces que j'avais et que pour certaines j'ai encore à cause de cette folie, de cette dépendance, je ne pourrais jamais, jamais les expliquer.

Comment un être humain aussi brillant, aussi intelligent, aussi beau peut il sombrer dans une horreur, dans un gouffre aussi sombre, aussi profond, où l'on arrive à un point tel que le retour est impossible ?

C'était ça que je n'arrivais pas à expliquer, c'était ça qui m'avait tué, et qui, lorsque comme maintenant la nuit était froide et noire que je n'arrivais pas à expliquer.

_LIZBOEUF •• tell me what do you see, yes i lost my mind. 2zh2xxz

Cette nuit était une nuit comme toutes les autres. Le soleil avait rendu son dernier soupir il y a quelques heures. C'était en soi, un jour comme les autres et Elizabeth venait tout juste de débaucher, ses traits tirés indiquaient le contenu de journée en un seul mot : éprouvante. Elle était la dernière à sortir, elle ferma à clé et se retrouva nez à nez avec Jilly Tyler, l'homme qu'elle aimait et détestait le plus au monde.

Je vous ai fait peur ?

Ce n'est pas parce que vous vous sentez mâle alpha que tvous effrayez. Mais je dois avouer que ta tête aux premiers abords...

sa réplique se perdit dans un des sourires qu'elle ne réservait qu'à lui, petite mimique en coin.

Vous savez où je vous emmène ?

Chez moi ?

proposa t'elle pleine d'espoir, car elle ne rêvait que d'un bon lit et un bon Thaï.

Raté. Je vous emmène dans un endroit que vous n'êtes pas prête d'oublier. Mettez ça.

répondit Jilly en lui tendant un bandeau noir qu'elle devait sûrement se mettre sur les yeux. Lorsque ce fut fait, il passa une de ses mains dans son dos comme il avait tant l'habitude de le faire et pris celle de Liz dans la sienne. Le trajet dura cinq minutes, la moto de Tyler étant un de ces trucs rapides que la jeune Bishop refusait de conduire. Ils rentrèrent dans une salle d'intérieur, il y avait de l'agitation et le froid ne se faisait plus sentir. Elizabeth ne disait rien, se demandant sérieusement ce qui se préparait, elle sentit qu'on la faisait monter dans un ascenseur. Une porte, un escalier. Le vent de nouveau froid, un frisson de sa part et la veste de Jilly sur elle. Puis une chaise, moelleuse et confortable. Jilly passa derrière elle, elle le sentit à son souffle rapide, qu'elle reconnaitrait entre mille. Il lui retira le bandeau et elle vit devant elle une table magnifiquement décorée, des chandelles et deux assiettes. Et dans ces assiettes...un chinois Thaï commandé. Elizabeth éclata de rire.

Je sais pas quoi dire...Excepté que vous m'impressionnerez toujours toujours.

fit elle entre deux rires. Jilly, un sourire aux lèvre désigna la vue imprenable qui avait devant eux, les lumières de la ville étaient à couper le souffle.

C'est...magnifique.

murmura t'elle, époustouflée.

Pas autant que vous.

Pardon ?

Non rien.

Mais si vous avez dit quelque chose Jilly !

Je disais. Pas autant que vous.

Jilly l'évita du regard en réitérant son compliment, ses mots avaient dépassé sa pensée, il y avait une certaine limite entre eux et il se devait de ne pas l'outrepasser.

Vous...Merci.

Elle tentait de se reconcentrer sur la nourriture. Mais ça lui semblait impossible.

Je croyais que vous en raffoliez ?

Les étoiles et leur ciel sont bien plus belles qu'un être humain.

Ah, c'est donc le compliment qui vous gêne. Sachez Elizabeth que je dis ce que je pense, et que je pense à cet instant que rien n'est plus beau que la créature divine à mes côtés.

Je ne suis pas divine je suis humaine.

Jilly soupira à l'entente toujours rationnelle des propos de la jeune femme. Il adorait d'un autre côté qu'elle soit si terre à terre, mais de temps à autre ça le tuait. Il se leva, appuya sur un bouton situé sous la table et une musique douce en ressortit, c'est à ce moment là qu'il lui tendit la main.

Si vous ne mangez pas, peut être danseriez vous ?

ce a quoi elle répondit à l'affirmative, et alors qu'il était tard, que la ville s'endormait paisiblement deux êtres brisaient cette loi appliquée qui disait que l'on devait regagner nos lits quand minuit sonnait.

Car jusqu'à l'aube ils parlèrent, dansèrent, mangèrent. Et lorsque le soleil se leva, épuisés, Elizabeth et Jilly se mirent sur la plus haute facade du toit, l'apogée du bâtiment. L'un contre l'autre; il n'y avait rien ni personne, juste l'astre du jour pour témoin.

Bonne nuit Elizabeth.

Bonne nuit Jilly.

furent les dernières choses qu'ils dirent avant de s'endormirent.

Ce fut aussi ce seul et unique jour que la seconde du chef et l'agent Tyler furent portés absents dans les registres de leurs travails respectifs. Mais ça c'est une autre histoire.

***

_LIZBOEUF •• tell me what do you see, yes i lost my mind. 15owmxu

La discussion avait démarré normalement portant sur Aaron, le fils de Jilly et personne n'aurait pu prévoir à ce moment là, il y a quelques minutes qu'elle finirait comme ça. Mais revenons à nos débuts, sinon le sens de cette histoire ne sera comprit de personne. La journée pour Tyler avait été particulièrement éprouvante, un dossier n'était toujours pas clos, une affaire sombre et une corruption de haut niveau. La tension dans les bureaux était omni-présente. Et Jilly Tyler savait parfaitement qu'il ne devait manger avec personne jusqu'à qu'elle soit partie, et surtout pas avec Elizabeth. Mais elle lui avait demandé, chose rare, et elle voulait l'aider. Rien de plus. Ainsi ils s'étaient assis à la table d'une cafétéria normale mais pourtant que les deux jeunes gens adoraient, modeste elle servait pourtant d'excellents condiments. Ils se servirent, commencèrent comme je vous le disais à discuter calmement de tout et de rien. Et c'est à ce moment là que la discussion dériva sur Aaron. Et c'est à ce moment là que rien n'alla dans le sens rationnelle d'une discussion.

Et Aaron est au courant de votre enquête en cours ? Sur cette histoire de corruption d'agents...

Non il ne sait rien, il a six ans, pourquoi voudriez vous que je lui parle de mes affaires ?

Il comprendrait sûrement pourquoi il est souvent chez sa grand mère.

Vous insinuez que je m'occupe mal de mon fils ?

Elizabeth avait tressailli, le ton était dur, jamais il ne lui avait parlé sur ce ton, si dur.

Non, non pas du tout ! Vous êtes un excellent père et...

Tout de façon où pouvez vous aller chercher un exemple de père.

le silence se fit, c'était comme si elle avait pris un coup de poignard et il n'en avait pas finit dans sa haine qu'il allait regretter.

Un type pas foutu de gérer une femme de quarante kilos complètement bourré qui frappe sur ses gosses. Ça c'est du père.

Je vous interdis d'insulter mes géniteurs. Je pourrais faire de même, car l'alcool était aussi présente à votre domicile, sauf que c'était le contraire du mien. C'était le gentil papa en apparence.

Tyler se leva d'un coup sec, renversant presque la table et prit avec violence le bras de la jeune Bishop. Arrivés dehors, il passa derrière le bâtiment dans la rue déserte, il la plaqua contre le mur, jamais deux êtres ne pouvaient dégager une telle haine commune à ce moment précis.

Ne parlez pas de lui.

Ne parlez pas d'elle.

la réponse avait fusé, évidente. Les larmes menaçaient à tout moment de s'écrouler sur le visage de porcelaine d'Elizabeth, elle avait mal physiquement -de cette emprise qu'il exerçait- mais aussi psychologiquement. Et lorsqu'il vit sur son visage la douleur qu'il venait de lui infliger, sous le simple prétexte qu'il était tendu, fatigué, éreinté et en colère, c'est lui qui versa une larme, puis deux, puis un nombre incalculable. Liz le prit dans ses bras, de sa douleur angélique, elle comprenait, sans mot aucun, pourquoi il s'accrochait à elle comme si sa vie en dépendait, elle passa sa main dans les cheveux de Jilly, à cet instant il était vulnérable. Plus vulnérable qu'il ne l'avait jamais été qu'il ne le serait jamais.

Joey...

il ne l'appelait jamais par son deuxième prénom. Et dans sa bouche ça sonnait bien, ça sonnait beau.

Oui ?

Dé...désolé.

le silence se refit entendre, d'un geste synchrone, ils s'abaissèrent en même temps, et sans une hésitation aucune, Jilly étreint Elizabeth, comme pour se racheter à son tour. Ils ne reparlèrent jamais de cette après midi. Mais le soir même Jilly Tyler avait trouvé la force dénoncer l'homme responsable depuis le début qui n'était autre que son directeur adjoint.

•• NI D'EVE, NI D'ADAM

• N'EST PAS DU GENRE A AVOIR UN NOUVEAU MEC POUR UNE NOUVELLE NUIT. •
• RÉFLÉCHIE • AMBITIEUSE • TERRE A TERRE • MALCHANCEUSE •
• SPONTANÉE • NATURELLE • INCULTE • INTELLIGENTE •
• PERFECTIONNISTE • ASSOCIABLE & ASOCIALE •
• BORNÉE • CONFLICTUELLE • COMPLIQUÉE •
• FRANCHE • PEUT ÊTRE TROP • RÉALISTE •
• A DU MAL A FAIRE LES PREMIERS PAS •
• FIDÈLE • INTROVERTI • FROIDE •

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Elle ne jure que par le style des années 70, que ça soit dans sa salle de bain ou sa chambre.

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Liz éprouve une haine éternelle aux chaussons et aux chaussures, dès qu'elle peut, elle les enlève, pour laisser à l'air ses petits petons. Quand l'hiver se fait trop rude, elle met des chaussettes. "A jolis motifs."

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Elle ne parait pas ressentir le froid, excepté pour ses pieds vous pourrez donc la trouver en short (jamais en jupe elle en a horreur) au beau milieu du mois de Novembre.

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Compte tenu du fait qu'elle ne sait pas tenir une réelle conversation, elle a tendance à couper la parole, dans sa tête cela parait normal, car dès qu'une information lui traverse l'esprit et qu'elle la juge importante, c'est à dire quasiment tout, elle coupe la parole.

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Lorsque le silence se fait, qu'un petit blanc s'installe, elle tente vainement de lancer une blague sortie de son répertoire médiocre. A la fin de la boutade, le silence est le même. Excepté que tout les regards sont tournés vers elle.

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Elle dort nue comme un ver depuis "sa première fois", où elle a découvert que la sensation des couvertures chaudes sur sa peau plus froide avait été plus agréable que la nuit qu'elle venait de passer avec le type qui avait déserté.

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Elle travaille en cuisine en tant que seconde du chef, touche à la nourriture bonne et saine toute la journée. Mais lorsqu'elle rentre chez elle, elle se contente d'un Thaï. L'appétit n'a jamais été son fort, chose que sa meilleure amie lui reproche souvent.

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Elle a la sale manie de fermer toutes les portes, c'est ainsi qu'elle peut s'endormir et se sentir en sécurité, un tic qui remonte à sa plus tendre enfance.

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Lorsqu'elle était gosse, elle voulait anthropologue judiciaire. Un métier qui demandait un investissement émotionnel. Et puis elle a grandit et s'est aperçu qu'éprouver de la compassion pour les familles des disparus et attraper des violeurs, et des tueurs c'était très peu pour elle.

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Elizabeth est une femme qui arriverait à tout rationaliser, jusqu'à l'amour. Elle a peur des choses qu'elle ne peut pas contrôler, et ce genre d'émotions ce n'est pas pour elle.

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Elle déteste lorsqu'on touche à ses affaires, plus particulièrement à ses CD de Tom McRae artiste qu'elle admire plus que tout.

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Elle fume mais ne l'assume pas.

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Bon d'accord pas du tout. Parce que vous une femme qui prône de bien s'occuper de son corps et que la santé est primordiale ça la foutrait mal quand même.

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Elle est une inculte du cinéma européen, asiatique, américain. Autrement dit une inculte tout court.

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Elle a un chat qui s'appelle Monsieur Chat.

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On va miser sur l'excuse que c'est parce qu'elle est rationnelle à l'extreme.

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Mais au fond, pauvre chat.

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Elle n'a pas la télé et se sert de son ordinateur pour la regarder, des documentaires, le journal de 20h et pour écouter de la musique, autrement dire que ça lui est très utile, même vital.

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Elle est une fan incontesté de Stephen King, Amélie Nothomb et Anna Gavalda. Néanmoins elle déteste les livre de S.F.

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Récemment, elle est tombée amoureuse d'une série qui répond sous le doux nom de Kim Possible.

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Lorsqu'elle était petite, elle détestait les sucreries, elle les déteste toujours mais est venue s'ajouter les chips et l'alcool.

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Quand elle était gamine, elle adorait allait du pied de l'arc-en-ciel à son autre pied. Son père l'y emmenait volontiers.

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Bien qu'intelligente et douée elle n'a jamais réussi à savoir pourquoi il y avait de crises économiques alors que les machines à sous sont des machines construites par les humains.

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Elle a une voix à faire pleurer, à faire trembler. Mais vous ne le saurez jamais.

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Elle est violoniste, c'est une passion que comme beaucoup d'autres elle ne révèle pas. Comme chacun de ses talents.

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Elle ne croit pas en une puissance supérieure et l'assume parfaitement, cependant elle ne se rend jamais compte de l'effet qu'elle produit lorsqu'elle dit la vérité de la manière la plus abrupte qui soit.

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Elle a toujours explosé la tête des barbies, au bout de la deuxième, son père a abandonné.

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Elle HAIT les clowns et les cirques.

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Elle a fait des études d'anthropologie avant de se lançer pleinement dans la cuisine.

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Tout ce qu'elle entreprend, elle le réussit, quoi qu'il en coûte.

•• VOUS REVOIR

Avatar : DAME DESCHANEL 018

Prénom/Pseudo : Domino Day 015

Sexe : C'est pratique quand on s'encrotte 015

Comment avez-vous connu Swiss' Flavours ? : On m'a envoyé un faire part de naissance. I love you

Des commentaires ? : MA WC SUPERSONIQUE, J'AIME CE TRUC 038

MA CHOUPINETTE D'AMOUR DE MA VIE QUE J'AIME A LA FOLIE !!! J'te keaf a donf !! Et nous faut un putain de lien de la mort qui tue tout ! 025

Moi aussi je m'aime 015

J'ai déjà une GROSSE idée de lien, alors come on je vais te pianoter sur méssène 013

Yeah ! Je t'attends de pieds fermes !

Bones ?!

Fabian Mattezzi a écrit:: Bones ?!

YEH BABY

Fabian Mattezzi a écrit:

Bones ça fait tout péter 012

C'est trop géniale cette série, j'overkiffe comme pas permis 005

Mais je suis toujours sous le choc de la fin de saison 3 Shocked

Fabian Mattezzi a écrit:: C'est trop géniale cette série, j'overkiffe comme pas permis Mais je suis toujours sous le choc de la fin de saison 3

Oui mais faut voir la saison 4 que je regarde en VOSTfr, même si t'es sous le choc ce qui est compréhensible, tu vas l'être un peu moins en regardant la saison 4 surtout dans un certain épisode où Zach va dire un truc à Sweets 029